Après les réseaux sociaux, l’affaire du présumé prédateur sexuel Hervé Bopda dans les médias classiques. Vision 4 s’est penché dessus à travers son émission de débat Club d’élites.
Montage en épingle
Dieudonné Essomba estime que cette histoire de prédation sexuelle est un montage pour occuper l’espace de l’actualité. « Cette affaire est un montage en épingle de l’Etat pour distraire les gens et occuper l’actualité. Comment est-ce que vous pouvez me dire que Bopda a violé des gens pendant des années, et qu’aucune femme n’ait décidé de l’affronter ? Vous voulez dire que ces victimes n’ont personne d’influent autour d’elles ? Ou bien ce Bopda fait des enquêtes sur elles avant de les agresser », déclare le consultant médias. « Qu’il y ait un grand criminel au sein du Cameroun, qui est protégé par les autorités depuis des années, et qu’un jour un super héros venu des réseaux sociaux décide de le dénoncer, ce n’est pas rationnel », poursuit Dieudonné Essomba dans Club d’élites sur Vision 4
Bopda ne peut pas agresser les femmes depuis sans se faire arrêter
Il pense qu’une personne ne peut pas prendre de telle liberté. « Aucun individu de cette société ne peut autant agresser les gens et toujours s’en sortir sans être inquiété. Il n’y a aucun fond dans cette histoire », ajoute Dieudonné Essomba dans Club d’élites sur Vision 4. « Ce Bopda, vous voulez nous dire qu’il représente quoi dans la République pour arrêter les gens pendant des années et échapper à la justice ?», s’interroge Dieudonné Essomba dans Club d’élites sur Vision 4.
« Ce Bopda est familier d’un certain milieu, avec des filles de ce milieu-là, qui sont parfois consentantes. Mais vous ne pouvez pas me dire qu’un individu va arrêter des filles de façon indiscriminée, sans jamais tomber sur la fille d’un magistrat ou d’un colonel qui va lui faire la peau », pense Dieudonné Essomba dans Club d’élites sur Vision 4.
GIPHY App Key not set. Please check settings