Kylian Mbappé et Nordi Mukiele ont profité d’une soirée spécialement organisée par un concierge de luxe au V Club à Stockholm, où Mbappé aurait rencontré une jeune femme avec qui il aurait eu des relations sexuelles, apparemment consenties.
La virée nocturne de kylian Mbappé à Stockholm
Cette virée nocturne avait déjà fait la une des journaux, car elle s’est déroulée en plein milieu d’une trêve internationale. À cette occasion, l’attaquant avait invoqué une blessure pour justifier son absence, préférant se reposer plutôt que de participer à deux matchs avec les Bleus, dont il est pourtant le capitaine.
Selon la presse suédoise, entre 20 et 30 personnes, principalement des jeunes femmes suédoises, étaient présentes. Les convives auraient été priés de laisser leurs téléphones à l’entrée pour garantir la confidentialité de la soirée. La fête se serait déroulée sans incident, et Mbappé aurait brièvement joué au ping-pong avant de retourner danser. Le lendemain, vers minuit, le joueur est photographié en train de quitter le restaurant français « Chez Jolie », avant de revenir un peu plus tard à la boîte « V ».
Une relation sexuelle consentie ?
Après la soirée, il aurait parcouru environ un kilomètre pour rejoindre le « Bank Hotel », où il séjournait avec ses proches. Selon ses récits, la plaignante aurait effectué ce trajet juste après Kylian Mbappé. Selon Le Parisien, un rapport sexuel consenti aurait eu lieu entre le joueur et la femme rencontrée lors de cette soirée. Des messages échangés entre les deux personnes le lendemain viendraient corroborer cette version. C’est pourquoi l’entourage de Mbappé se dit choqué par les accusations qui ont suivi.
Elle s’est rendue dans un hôpital de Stockholm le vendredi ou le samedi pour signaler « ce qui pourrait s’apparenter à un viol ». Entendue par la police, elle aurait désigné Kylian Mbappé comme son « possible agresseur » et indiqué sa chambre d’hôtel comme le lieu des faits.
Le parquet de Stockholm a alors ouvert une enquête préliminaire. Lundi, des enquêteurs et techniciens en identification criminelle se sont rendus au « Bank Hotel » pour procéder à des prélèvements d’ADN et de liquides biologiques dans la chambre mentionnée par la plaignante.
Les échanges de message
Bien que ces messages puissent servir de preuve d’une relation claire en cas de poursuites contre le joueur, d’autres éléments doivent être pris en compte. D’une part, la plaignante, qui se déclare victime, n’est peut-être pas l’auteure des échanges avec Kylian Mbappé.
Il est également possible que le Français ait été en contact avec une autre personne, dont le comportement pourrait soulever des questions, susceptibles d’être interprétées comme du viol ou du harcèlement sexuel.
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