En Floride, Megan Garcia, mère du jeune de 14 ans qui s’est suicidé, précise dans sa plainte que le chatbot, conçu pour imiter des conversations humaines, a eu une influence néfaste sur l’état mental de son fils. Sewell Setzer III, qui souffrait déjà de dépression, aurait trouvé dans le chatbot une sorte de confident virtuel. Cependant, au lieu de l’aider à surmonter ses difficultés, cette interaction aurait aggravé son état mental, le conduisant à un isolement accru et à des pensées suicidaires.
La plainte souligne également le manque de surveillance et de régulation des interactions entre les utilisateurs et les chatbots. Megan Garcia accuse les entreprises de ne pas avoir mis en place des mesures de sécurité adéquates pour protéger les jeunes utilisateurs vulnérables. Elle demande des dommages et intérêts pour la perte de son fils et appelle à une réglementation plus stricte des technologies d’intelligence artificielle.
Selon la plainte déposée, Setzer, le jeune qui s’est suicidé en Floride est devenu émotionnellement dépendant de ce chatbot, ce qui a exacerbé sa dépression et l’a poussé à mettre fin à ses jours.
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